... Le pays sans nos contes retourne à la confusion.
Jacques Ferron, Contes
Refonte majeure d'un projet personnel.
L'album était épuisé et encore en demande.
vendredi 4 décembre 2009
samedi 10 octobre 2009
jeudi 8 octobre 2009
JE NE COMPRENDS PAS
(lettre publiée dans le Courrier de Portneuf du 7 octobre 2009)
Comme une image vaut mille mots, voici le cenellier que nous regardions pousser depuis presque 25 ans.
IL Y A ENCORE des gens qui n’ont aucun respect des arbres. Qui, avec des super machines déchiqueteuses emboutées à une pelle mécanique sillonnent nos routes, arrachant, triturant, tordant, écrasant, malaxant, bref massacrant nos pauvres frères Frênes, Ormes, Érables, Pommiers, Cenelliers, Trembles, etc. qui, pour leur malheur, ont eu dans la vie le hasard de pousser le long de nos belles (?) routes du Québec. Ils étaient souvent jeunes, mais j’en ai vu de 7-8 pouces se faire décapiter ! Et de plus gros se faire arracher les branches sans retenue.
Ces arbres parfois n’étaient même pas, imaginez, dans l’emprise de la route ! Ils avaient simplement le tort de trop étendre leurs branches (l’élagage existe) ou de pencher un peu trop vers elle. Pour la plupart de ceux que je connaissais, ils n’empiétaient même pas sur les fils d’Hydro, ne nuisaient pas au fossé – bancal par ailleurs.
Je vous invite donc cet automne à faire vos balades d’automne dans le coin de Grondines sur la route 138 (chemin du Roy, oui votre majesté !) et de constater les ravages de la super bibite de notre voirie nationale, encore inconsciente et irrespectueuse de la beauté des arbres, en cette saison et en toute autre.
Et j’invite par la même les grands chefs de cette vénérable voirie à venir justifier publiquement, dans ces pages, leur façon de faire; pour me calmer peut-être, ou pour me rendre encore plus chagrin...
Robert Julien
Comme une image vaut mille mots, voici le cenellier que nous regardions pousser depuis presque 25 ans.
IL Y A ENCORE des gens qui n’ont aucun respect des arbres. Qui, avec des super machines déchiqueteuses emboutées à une pelle mécanique sillonnent nos routes, arrachant, triturant, tordant, écrasant, malaxant, bref massacrant nos pauvres frères Frênes, Ormes, Érables, Pommiers, Cenelliers, Trembles, etc. qui, pour leur malheur, ont eu dans la vie le hasard de pousser le long de nos belles (?) routes du Québec. Ils étaient souvent jeunes, mais j’en ai vu de 7-8 pouces se faire décapiter ! Et de plus gros se faire arracher les branches sans retenue.
Ces arbres parfois n’étaient même pas, imaginez, dans l’emprise de la route ! Ils avaient simplement le tort de trop étendre leurs branches (l’élagage existe) ou de pencher un peu trop vers elle. Pour la plupart de ceux que je connaissais, ils n’empiétaient même pas sur les fils d’Hydro, ne nuisaient pas au fossé – bancal par ailleurs.
Je vous invite donc cet automne à faire vos balades d’automne dans le coin de Grondines sur la route 138 (chemin du Roy, oui votre majesté !) et de constater les ravages de la super bibite de notre voirie nationale, encore inconsciente et irrespectueuse de la beauté des arbres, en cette saison et en toute autre.
Et j’invite par la même les grands chefs de cette vénérable voirie à venir justifier publiquement, dans ces pages, leur façon de faire; pour me calmer peut-être, ou pour me rendre encore plus chagrin...
Robert Julien
mardi 18 août 2009
LE GRAND HÉRON DANS LES POINTES
lundi 17 août 2009
mercredi 8 juillet 2009
LALIBERTÉ
samedi 27 juin 2009
mercredi 10 juin 2009
dimanche 3 mai 2009
jeudi 16 avril 2009
EXISTONS-NOUS ?
lundi 6 avril 2009
mercredi 1 avril 2009
vendredi 27 mars 2009
DESCHAMBAULT CET APRÈS-MIDI
mardi 24 mars 2009
À LA DÉRIVE DANS LES BATTURES
mercredi 18 mars 2009
lundi 9 mars 2009
mercredi 25 février 2009
jeudi 19 février 2009
lundi 9 février 2009
mercredi 21 janvier 2009
mercredi 14 janvier 2009
SAUT DANS LE TEMPS
Alors amis, ça ! peu de gens ont pu voir cette image.
1983. Ermite vivant dans une boutique à bois,
je gossais ce genre d'illustrations pour... une
hypothétique bande dessinée...
Toutes de crayon de plomb brossées, elles
se développaient dans un pur esprit zen.
Le genre de détachement que je retrouve
difficilement maintenant.
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